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Les produits :
- Nobs – Mix au poivre Kamot
Cette entreprise familiale incarne depuis de nombreuses années une référence suisse pour l’élaboration de produits de haute qualité à base de noix. C’est à Münchenbuchsee, proche de Berne, que se situe notre bâtiment de production centenaire. Les noix y sont émondées, torréfiées sans huile et assaisonnées de manière artisanale et selon un processus de production traditionnel.
- Montrichet – Flûtes au greubon
Depuis 1945, la recette des fluettes artisanales de Montricher est demeurée pratiquement inchangée. Jean-Pierre Laffely, créateur de ces spécialités typiques du pied du Jura, l’a transmise à son fils Mario qui l’a lui-même léguée à son successeur Dominique Ernst, de La Sarraz. Si les ingrédients sont connus – de la farine provenant des Grands Moulins de Cossonay, du beurre, de la levure, du sel et du malt mais aucuns conservateurs – le mystère demeure tant sur les proportions que sur le mode de cuisson. «Il y a un petit truc à la cuisson que j’ai hérité de mes prédécesseurs, une méthode de travail particulière qui donne aux fluettes une texture, un aspect et un goût particuliers», relève Dominique Ernst, qui n’en dira pas davantage.
- Events & Saveurs – Terrine Bolets (haut de cuisse de dinde, foie de volaille et porc)
Cette terrine au bolets préparée par Ulrich Indermühle vous enchantera les papilles. Bénéficiant d’une formation à l’Ecole hôtelière de Genève, notre chef a fait ses armes dans de nombreux établissements étoilés, tant en Suisse alémanique qu’à Genève. En 2000, Ulrich Indermühle décide d’amener ses compétences culinaires dans un spectre plus large, celui de l’événementiel avec l’envie de vous faire vivre des expérience gastronomiques authentiques. Son plaisir est de travailler avec des produits régionaux de qualité, avec précision, de l’élaboration jusqu’au dressage de l’assiette.
- Your Own Bread – Crackers d’Alexandra
Juriste, psychologue et musicienne de formation, mais surtout gastronome et épicurienne, au bénéfice d’une formation en oenologie, elle a découvert le levain, le pain et le plaisir de produire quelque chose de ses mains à un moment de sa vie où “elle ne savait même plus comment elle m’appelait”. Ce retour aux sources, à la base de l’alimentation, cet éveil des sens, l’ont ramenée les pieds sur cette belle terre que nous avons. “Quand on malaxe une pâte, quand on sent l’odeur du pain qui sort tout juste du four et qu’on retrouve ce goût unique et oublié du pain au levain qui craque sous la dent mais dont la mie fond dans la bouche, ça rend tout simplement HEUREUX.”
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